leona a écrit :isadel a écrit :la marque lacoste qui a tout simplement faillit couler à cause de la contrefaçon(...)la marque a pris un méga coup dans son image de marque car les gens qui avaient les moyens de s'offrir les originaux ne voulaient pas être assimilés à la "racaille"
Aah nous y voilà. Donc les gens n'achètent pas une marque pour la beauté ou la qualité de ses vêtement mais pour l'image qu'elle renvoie et en fait en résumé pour se la "péter". Berk quel monde affreux. Pourquoi se soucier de ces gens-là?
Ne rêvons pas. L'achat comme signe d'appartenance à un groupe social est un phénomène qui touche absolument tout le monde

leona a écrit :Et je le répète aucune d'entre nous n'est ethiquement irréprochable.
Je suis d'accord avec cette phrase

leona a écrit :N'inverse pas les choses. Les glamourettes qui ont commencé à parler d'ethique sont celles qui critiquent la contrefaçon. Or c'est justement celles-là qui jugent ceux qui achètent de la contrefaçon qui devraient se demander si leurs achats à elles sont bien ethiquement acceptables (cf. H&M ou Zara dont on a parlé plus haut)
Mais qui a prétendu le contraire ? Sauf qu'il ne faut pas oublier que les contrefaçons sont déjà illégales mais aussi éthiquement inacceptables. Perso, je trouve que ça fait beaucoup...
leona a écrit :Dragibus:Peut-être que tu ne télécharges pas mais tu achètes sûrement des vêtements chez H&M ou autres (en tous cas fabriqués dans des conditions pas acceptables) et ça c'est pas un choix ethiquement irréprochable.
Comment ça des conditions pas acceptables ? Tous les grands groupes textiles subissent des contrôles assez sévères depuis une quinzaine d'années, dans toutes leurs zones de production. Il est vrai que les conditions ne sont pas les mêmes qu'en France, mais il n'en reste pas moins qu'elles sont soumises à de réelles réglementations, de plus en plus contrôlées. Contrairement à la production de contrefaçons, qui étant illégale et en dehors de tout contrôle regroupe généralement les pires conditions de travail.